• Textes

    OBEĆAN GRAD
    (Muzika i tekst: Z. Runjić)

    VILLE PROMISE

    Nous changerons la terre, les villes et les gens
    J'inventerai pour toi un monde nouveau,
    Nous irons quelque part, nous changerons tout,
    Que personne ne sache où.

    Tu seras mon matin, mon jour et le calme du jour
    Le soleil te réveillera comme la 1ère fleur,
    Cette vie folle, ce monde dur,
    Que jamais personne ne sache où.

    Je trouverai la paix promise
    Un coin ensoleillé et silencieux,
    Ce sera une vie comme tu le désires
    Il y a quelque part un soleil pour nous,
    Quelque part la ville promise attend
    Dans celle ville nous vivrons éternellement enfin.

    Le coin que nous cherchons
    Là où la tempête cherche le calme aussi
    Qui vivra du feu qui sommeille en nous
    Tout ce que tu gardes maintenant en rêve
    Apporte-le sur ce chemin
    Si les rêves s'envolent - je serai là

    Tu seras mon matin, mon jour et le calme du jour
    Le soleil te réveillera comme la 1ère fleur
    Cette vie folle, ce monde dur,
    Que jamais personne ne sache où.

    Nous brûlerons les chambres, les ponts et les lettres
    Ce qui nous lie à ce vieux monde.
    De l'angoisse de la nuit naît n'importe où
    Où l'amour sera tout.

    Je trouverai la paix promise
    Un coin ensoleillé et silencieux
    Ce sera une vie comme tu le désires
    Il y a quelque part un soleil pour nous
    Quelque part la ville promise attend
    Dans celle ville nous vivrons éternellement enfin.

    Le coin que nous cherchons
    Là où la tempête cherche le calme aussi
    Qui vivra de feu qui sommeil en nous
    Tout ce que tu gardes maintenant en rêve
    Apporte-le sur ce chemin
    Si les rêves s'envolent - je serai là

  • NONO, MOJ DOBRI NONO

    GRAND-PÈRE, MON BON GRAND-PÈRE

     
    Tu connaissais tant de contes magnifiques à me raconter,
    c’est là que j’ai connu le monde, et j’étais petite
    et je ne sais même pas si je t’ai dit Merci,
    pour les secrets que j’ai découverts...
     
    Grand-père, mon bon grand-père,
    je connais de moins en moins de personnes qui te ressemblent,
    Grand-père, mon bon grand-père,
    mais le bonheur dont tu me parlais, et mon amour pour toi
    resteront toujours dans mon cœur.
     
    Tu as dit, je me rappelle bien ta voix:
     "La vie est pleine de chagrin et de bonheur
    et souviens-toi à jamais, on est toujours plein de rêves,
    mais il n’y en a qu’une partie qui se réalise "… 

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  • SANJAJ  DA  TE  SAJAM

     

    RÊVE QUE JE RÊVE DE TOI
     
     
    La lumière avec les ténèbres,
    le nuage avec le bleu du ciel,
    le feu avec la croix qui se détruit, 
    la larme avec l’œil qui pleure 
    toi qui dors avec moi, dans mon âme. 
     
    La barque avec la mer, 
    le pain avec le vin, 
    la chanson avec la gorge enrouée,
    la rose avec l’ombre dans tes bras 
    tu dors avec moi, quelque part en moi. 
     
    La voile avec le vent, 
    la neige avec la montagne, 
    les brouillards d’automne avec l’inquiétude, 
    l’herbe avec la rosée, l’île avec la mer, 
    toi, tu dors, dors mon ange. 
     
    Lèvre avec la lèvre, 
    L’argent avec l’or, 
    un oiseau endormi sous le feuillage 
    si tu te réveilles, je me réveillerai aussi 
    et pour cela, rêve que je rêve de toi.

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  • MODERATO CANTABILE

    (Muzika i Tekst : A. Dedić)

     

    MODERATO CANTABILE

    La rivière apporte l’automne
    la ville se meurt longtemps
    et tant d’étés en nous
    Nous sommes des orphelins du monde
     
    Dis-moi si ce soir
    tu pourras tout abandonner
    ton toit, tes habitudes, tes gens (amis)
    et se diriger, sans savoir où?
     
    Que tout le monde nous dise Au revoir avec mépris
    mais, mon chéri, la vie passe, c’est maintenant le moment.
    Le monde entier sera notre nouvelle maison
    et laisse les autres dire: "C’est une aventure!"
     
    Tu ne regretteras jamais
    tes choses, ton prénom, ta ville
    et dans la chambre froide de l’hôtel
    tu seras libre à ce moment-là.
     
    Que tout le monde nous dise Au revoir avec mépris
    mais, mon chéri, la vie passe, c’est là le moment.
    Le monde entier sera notre nouvelle maison
    et que les autres disent: "C’est une aventure!"
     
    La pluie, longue et désespérante,
    le brouillard s’étale sur l’air
    par un chemin, étroitement, à travers l’automne,
    le train nous conduira.

     

      


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  • GDJE IMA SRCA TU SAM I JA

    (Glazba: Tereza Kesovija)
    (Tekst: Margit Antauer)

    ET JE SUIS LÀ OÙ IL Y A UN CŒUR

    Je suis sur scène, devant moi les juges,
    ma vérité s’écoule dans l'obscurité,
    une lumière menteuse brûle sur ma main,
    les sons s’effacent, leurs traces sont dans mon cœur.
     
    Je suis sur scène, et j’aime les gens,
    je peux donner tout l’amour du monde
    et l’amour vivra tant qu’il y aura la chanson
    pour que personne entre nous ne se sente seul.
     
    Autant d’espoirs que de souhaits,
    autant de rêves que de cœurs,
    pour chaque cœur une étoile file,
    et je suis là où il y a un cœur.
     
    Je reste sur scène, et je me souviens des jours
    je me souviens des applaudissements tumultueux et calmes.
    Tant de mots sont restés dans la chanson,
    est-ce que je pourrai les chanter un jour.
     
    Je reste sur scène, je reçois et j’offre,
    la chanson comme du satin glisse autour de nous,
    j’aime et je dure grâce à elle
    chaque chanson est la voix de mon cœur.
     
    Que les lumières ne s’éteignent pas quand je me retirerai de la scène
    et que les musiques jouent jusque très tard dans la nuit
    je serai là tant qu’il y aura la chanson
    et quand la chanson s’arrête, je m’en irai aussi.
     

     


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  • I GLEDAM MOJE KONAVLE

    (Glazba: Andrej Baša)
    (Tekst: Margit Antauer)

    ET JE REGARDE MON KONAVLE

    Quand la nuit s’étend sur le Konavle,
    je serai un oiseau et je m’y envolerai,
    je serai une étoile en or
    qui brille sur la plaine ensommeillée.
     
    Quand le soleil brille sur le Konavle
    j’entends le vent qui m’appelle : « Viens vers moi ! »
    Si seulement je pouvais être une huître perlière
    au fond de ta mer
    et un grain de sable des profondeurs de la mer
    j’embrasserais tes pierres (tes rochers, tes maisons en pierre,    ta terre)…
     
    Et je regarde mon Konavle,
    l’harmonie des cours blanches,
    les plaines sereines et douces,
    et la ville ancienne de Cavtat.
    Et je regarde mon Konavle
    aux yeux de rêve,
    tandis que dans mon cœur bout ardemment
    le sang du Konavle.

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