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GDJE IMA SRCA TU SAM I JA
(Glazba: Tereza Kesovija) (Tekst: Margit Antauer) ET JE SUIS LÀ OÙ IL Y A UN CŒUR
Je suis sur scène, devant moi les juges, ma vérité s’écoule dans l'obscurité, une lumière menteuse brûle sur ma main, les sons s’effacent, leurs traces sont dans mon cœur. Je suis sur scène, et j’aime les gens, je peux donner tout l’amour du monde et l’amour vivra tant qu’il y aura la chanson pour que personne entre nous ne se sente seul. Autant d’espoirs que de souhaits, autant de rêves que de cœurs, pour chaque cœur une étoile file, et je suis là où il y a un cœur. Je reste sur scène, et je me souviens des jours je me souviens des applaudissements tumultueux et calmes. Tant de mots sont restés dans la chanson, est-ce que je pourrai les chanter un jour. Je reste sur scène, je reçois et j’offre, la chanson comme du satin glisse autour de nous, j’aime et je dure grâce à elle chaque chanson est la voix de mon cœur. Que les lumières ne s’éteignent pas quand je me retirerai de la scène et que les musiques jouent jusque très tard dans la nuit je serai là tant qu’il y aura la chanson et quand la chanson s’arrête, je m’en irai aussi.
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I GLEDAM MOJE KONAVLE
(Glazba: Andrej Baša) (Tekst: Margit Antauer) ET JE REGARDE MON KONAVLE
Quand la nuit s’étend sur le Konavle, je serai un oiseau et je m’y envolerai, je serai une étoile en or qui brille sur la plaine ensommeillée. Quand le soleil brille sur le Konavle j’entends le vent qui m’appelle : « Viens vers moi ! » Si seulement je pouvais être une huître perlière au fond de ta mer et un grain de sable des profondeurs de la mer j’embrasserais tes pierres (tes rochers, tes maisons en pierre, ta terre)… Et je regarde mon Konavle, l’harmonie des cours blanches, les plaines sereines et douces, et la ville ancienne de Cavtat. Et je regarde mon Konavle aux yeux de rêve, tandis que dans mon cœur bout ardemment le sang du Konavle.
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MODERATO CANTABILE
(Muzika i Tekst : A. Dedić)
MODERATO CANTABILE
La rivière apporte l’automne la ville se meurt longtemps et tant d’étés en nous Nous sommes des orphelins du monde Dis-moi si ce soir tu pourras tout abandonner ton toit, tes habitudes, tes gens (amis) et se diriger, sans savoir où? Que tout le monde nous dise Au revoir avec mépris mais, mon chéri, la vie passe, c’est maintenant le moment. Le monde entier sera notre nouvelle maison et laisse les autres dire: "C’est une aventure!" Tu ne regretteras jamais tes choses, ton prénom, ta ville et dans la chambre froide de l’hôtel tu seras libre à ce moment-là. Que tout le monde nous dise Au revoir avec mépris mais, mon chéri, la vie passe, c’est là le moment. Le monde entier sera notre nouvelle maison et que les autres disent: "C’est une aventure!" La pluie, longue et désespérante, le brouillard s’étale sur l’air par un chemin, étroitement, à travers l’automne, le train nous conduira.
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